OPTIMISER VOS JEUX
Les méthodes que nous vous livrons ci-dessous vous permettront, d'approfondir vos connaissances dans le domaine des courses pour parier avec succès. Chacune d'elles vous donne le moyen de dénicher soit un cheval de base pour parier au jeu simple ou à utiliser avec un système réducteur par exemple. Bien souvent, les chevaux indiqués sont à des cotes spéculatives. Chaque méthode peut permettre un jeu complet avec l'utilisation, par exemple, de la progression par paliers successifs qui vous est donnée .
Dans le choix des chevaux, il faut éliminer:
1- Les cracks réputés dont le rapport au mutuel est toujours dérisoire (Le crack est souvent battu...)
2- Les chevaux intermittents, courant bien un jour et mal le lendemain, ce genre de chevaux entraine des écarts insoutenables.
3- Au trot, le cheval fautif offrant peu de garanties, même s'il s'agit d'un cheval de classe.
Le choix se portera principalement:
1- Sur les représentants d'une écurie ou l'on appuie la chance des chevaux; une affaire manquée par l'entourage se récupère toujours à bref délai.
2- Sur les chevaux venant de faire deux ou trois sorties satisfaisantes (place de 4°, 5°, 6°), ils figurent et cherchent leur course.
3- Sur les éléments des petites écuries, 99% de celles-ci marchent toujours très droit et défendent bien les places (avantage très appréciable) une allocation de 3° est toujours bonne à prendre. A classe égale, le cheval d'une petite écurie vous laissera toujours 3 ou 4 points de plus à la cote que les représentants d'une grande casaque. Il arrive même, très souvent, qu'un de ces chevaux ayant la première chance théorique de la course, vous donne une cote de 12 à 15 contre 1.
Noter les chevaux choisis sur un répertoire alphabétique en séparant PLAT, OBSTACLES, TROT. Faire les annotations suivantes:
1- Date où vous le sélectionnez.
2- Genre d'épreuve ou spécialité (à vendre, handicap) du cheval sélectionné, au trot: monté ou attelage.
3- Le poids (plat) que ce cheval portait lorsque vous l'avez noté.
4- Sa monte habituelle.
5- La prise, s'il y en a une, à sa dernière sortie.
6- Dès qu'il a couru une fois après avoir été noté, marquer la performance accomplie (1°, 2°, 3°, 4°, ou Np).
7- Noter encore dans une colonne spéciale, la mise que vous avez faite sur sa place.
Un cheval peut être suivi pendant une période maximum de 1 MOIS, le mois révolu le rayer du répertoire quel que soit le résultat obtenu. Cette mesure ne souffre aucune dérogation, le fait de suivre trop longtemps un cheval amène invariablement l'inconvénient capital d'avoir une quantité prohibitive de chevaux et de se trouver dans une épreuve en présence de 2 ou 3 éléments à suivre.
Si après une nouvelle bonne performance le cheval revient en forme, le noter à nouveau. Le jeu à appliquer est le suivant:
1 ère épreuve: 1 mise gagnante, 2 mise placées
2 ème épreuve: 2 mises gagnantes, 4 mises placées
3 ème épreuve: 3 mises gagnantes, 6 mises placées
4 ème épreuve: 4 mises gagnantes, 8 mises placées
Dès que le cheval a gagné, repartir à la mise initiale 1 mise gagnante, 2 mises placées. Il ne faut jamais abandonner un cheval qui vient de gagner, il regagne presque toujours à bref délai et souvent à une cote plus lucrative que lors de sa première victoire.
Si vous choisissez vous-même les éléments techniques de votre jeu ou si vous suivez un organe hippique quelconque, suivez intégralement votre méthode, faites la sourde oreille au tuyaux... Dans une course de huit partnats, si vous avez le temps d'écouter tous les chuchotements dans l'oreille, on vous donnera certainement, au minimum, quatre affaires courues suivant les individus que vous aurez consultés et vous serez, 9 fois sur 10, battu par le cheval à suivre que vous aurez abandonné.
Si vos occupations personnelles, ou encore si votre compétence en turf était trop limité, consultez le travail des professionnels qui sont régulièrement sur les hippodromes et peuvent vous apporter une première approche sur les chevaux que vous aurez sélectionnés.
Cette méthode part d'un principe assez juste, à savoir qu'un cheval qui vient de finir non placé dans une épreuve importante peut dans certains cas, être préféré à un autre qui vient de gagner un modeste prix.
Il s'agit donc de considérer dans chaque course les chevaux les plus donnés par la Presse en premier et en second et de calculer le coefficient de chacun d'eux. Ce coefficient s'obtient de la façon suivante:
Un cheval qui reste sur une place de premier compte 5 POINTS, sur une place de second 3 POINTS, sur une place de troisième 2 POINTS, sur une NON PLACE 1 POINT.
Pour chacun d'eux, on multiplie le nombre de points exprimant la place dans la dernière course par l'allocation nominale de cette course en milliers de francs, ET ON JOUE LE CHEVAL AYANT LE PLUS FORT COEFFICIENT.
Nous sommes en présence des 4 chevaux donnés en 1er et en second par le tableau de la Presse pour lesquels voici la place obtenue dans la dernière course et l'allocation de cette course:
Cheval A - 1 er - 300.000F
Cheval B - 4 ème - 300.000F
Cheval C - 4 ème - 300.000F
Cheval D - 3 ème - 600.000F
Les coefficients des quatre chevaux sont les suivants:
Cheval A - 5 x 300 = 1.500 Points
Cheval B - 1 x 300 = 300 Points
Cheval C - 1 x 300 = 300 Points
Cheval D - 2 x 600 = 1.200 Points
Le cheval à jouer est donc le cheval A avec 1.500 points (plus fort coefficient).
1. Si deux chevaux totalisent le même nombre de points, on donnerait la préférence à celui dont la course est la plus récente et si les dernières courses des deux chevaux étaient de même date, on jouerait le moins donné des deux par la presse.
2. Abstention dans les courses de débutants bien entendu, puisque les chevaux n'ayant jamais couru, leur dernière course est inexistante.
3. Si dans les chevaux les plus donnés par la presse dans une course il y avait des débutants (chevaux pour lesquels il n'est pas possible d'établir de coefficient) on éliminerait les débutants.
Cette méthode est logique. Elle fait intervenir, en effet, la forme de la dernière course et, dans une certaine mesure, la classe, si tant est que les chevaux de classe soient ceux qui disputent les courses à allocation élevée.
Cette méthode donne du bénéfice à mise égale. La progression par paliers est également toute indiquée pour obtenir des bénéfices supérieurs.
Voici une méthode qui peut-être classée parmi celles susceptibles d'être appliquée avec profit. Comme presque toutes les méthodes, elle n'est pas à l'abri des écarts. Fatalement, à côté d'excellentes et longues périodes, il s'en trouve de défavorables qui, elles aussi, sembleront longues aux joueurs qui appliqueront cette méthode, mais à notre avis, sans être une panacée, elle "se tient".
On part de ce principe juste que pour toucher souvent et éviter, autant que possible les gros écarts, il ne faut pas sortir des premiers et des seconds favoris. Mais lequel des deux jouer dans quelles courses est-il plus favorable d'attaquer ?
La méthode préconise: Le second favori de la presse toutes les fois que dans la même course le premier favori a été NON PLACE à sa dernière sortie.
La statistique montre que dans ces courses, le pointage de victoires du second favori se rapproche de celui du premier pour un rapport moyen beaucoup plus élevé, ce qui le rend des plus intéressants à jouer.
Jeu à mise égale ou progression par paliers successifs.
Prendre le tableau récapitulatif de la presse sur le journal "PARIS-TURF" et noter le cheval le plus donné de la journée et le cheval le moins donné à condition qu'il figure à cette récapitulation.
Pour le plus donné de la journée, il n'y a pas de limite comme nombre de fois. Pour le moins donné, il faut qu'il soit cité au moins 4 FOIS en premier. En réalité, le deuxième cheval à jouer est celui qui a 4 voix, à défaut celui qui en a 5, à défaut celui qui en a 6, etc...
Cas d'égalité: Si deux chevaux étaient donnés le même nombre de fois dans deux courses différentes, prendre celui qui se présente dans la dernière de ces deux courses.
Si deux chevaux étaient donnés le même nombre de fois dans la même course, les départager en prenant celui qui serait le plus favori à la cote rationnelle.
Le plus donné de la journée est à jouer gagnant seulement et le "moins donné" gagnant et placé. Observation importante: le plus donné et le "moin donné" ne doivent jamais se trouver dans la même course, c'est à dire qu'on commence par choisir le plus donné, ensuite cette course est neutralisée et c'est dans les autres que l'on choisit le "moins donné".
Autre neutralisation des deux courses dans lesquelles on vient de sélectionner, on joue dans l'épreuve ayant la plus forte allocation parmi celles qui restent. Dans cette épreuve, on ne choisit pas le cheval à jouer de la même façon quand il s'agit du trot, du plat et de l'obstacle.
Pour le plat: c'est le troisième aux rapports probables
Pour l'obstacle: c'est le premier
Pour le trot: on ne s'occupe pas de l'allocation. On joue le premier cheval à 4/1 que l'on rencontre aux rapports probables en suivant l'ordre chronologique des courses (les deux où l'on a déjà joué "le plus donné", et le "moins donné" restant supprimés.
Le système de mise est le suivant: 2 - 4 - 8 - 12 - 20 augmentation ensuite par 10 et retour à l'unité de départ ausitôt récupération. Coefficients à appliquer sur la mise de base que vous aurez choisie.
Les jeux de la première et de la deuxième sélection se jouent séparément avec la même montante, de sorte que l'un des jeux en bénéfice peut compenser la perte de l'autre. Auquel cas, pour cet autre jeu, on reviendrait également à l'unitéLa méthode suivante intéressera surtout les gros joueurs. Le mode de sélection du cheval à jouer journellement ne constitue pas une innovation, mais le système de mises à appliquer est intéressant, surtout adapté à un jeu qui fait toucher peu mais souvent.
Cette méthode ne fait, en effet, jouer que des favoris et les fait jouer placés.
On sait que les premiers favoris placés présentent un pourcentage d'arrivée de soixante pour cent. Avec le moyen de sélection qu'applique le méthode en question, on peut obtenir un pourcentage d'arrivée de 75 à 80 pour cent.
On conçoit que, dans un tel jeu, les écarts soient très faibles, mais pour permettre une récupération des pertes, on applique ordinairement une montante très rapide: 3, 9, 27 etc... Qu'un écart anormal de 4 survienne et il faut miser 91 frs au cinquième coup. Avec cette méthode, un écart n'est pas à craindre puisque la mise diminue après chaque perte.
Parmi les six favoris de la journée (ou plus, s'il y a plus de courses), on choisit parmi ceux donnés au moins 18 fois par la presse celui qui reste sur la meilleure place la plus récente.
Cela signifie que parmi les chevaux ayant obtenu la meilleure place à leur dernière sortie (parmi ceux restant sur une victoire, à défaut sur une place de second, à défaut sur une place de troisième), on joue celui dont cette dernière place est la dernière en date.
On joue pas dans deux cas:
1. Lorsqu'aucun des favoris n'est pas donné plus de 18 fois
2. Lorsqu'aucun des favoris donnés plus de 18 fois ne reste sur une place
Lorsque deux favoris (plus de fois) restent sur une place identique obtenue à la même date, prendre le moins donné et, en cas d'égalité de voix, celui qui se trouve dans la course dont l'allocation est la plus élevée.
L'unité de mise est 150 francs. Après un écart, on joue 100 francs, après 2 écarts 50 francs, après 3 écarts ou plus on ne joue pas. On attend un coup gagnant et quand ce coup s'est produit, on masse sur le coup suivant une somme égale au total des sommes perdues au cours de l'écart.
Supposons une très mauvaise série de 7 coups:
Premier coup perdu -> mise: 150 frs
Deuxième coup perdu -> mise: 100 frs
Troisième coup perdu -> mise: 50 frs
Quatrième coup perdu -> Abstention
Cinquième coup perdu -> Abstention
Sixième coup gagné -> Abstention
Septième coup -> mise: 300 frs
On a subi un écart tout à fait anormal de 5. On remarquera qu'après avoir perdu en trois coups 150, 100, 50, soit 300 francs on ne joue plus et on attend le coup gagnant (6° coup). Aussitôt ce coup sorti, on masse 300 francs sur le coup suivant. Que ce coup soit perdant ou gagnant, on joue 150 francs (mise normale) le huitième coup. Cette façon de miser permet de profiter des séries dont on touche tous les gagnants pour 150 francs et de craindre peu les écartsVoici une combinaison qui convient plutôt au spéculateur qu'au joueur, que pendant plusieurs jours, elle peut ne sélectionner aucun cheval. Les chevaux qu'elle fait jouer, en principe, des QUASI-CERTITUDES.
Il faut, en effet, qu'ils remplissent les trois conditions suivantes, très rarement réunies:
1. Etre donnés 20 fois au moins par la Presse et courir une course autre que les prix à réclamer, à vendre ou handicaps.
2. Rester sur trois placés.
3. Ne pas faire sa rentrée après une absence de plus de trois mois.
Autre condition restrictive: Deux au moins des trois places exigées au paragraphe 2 doivent avoir été obtenues dans des prix de série, c'est à dire dans des courses qui ne soient ni des réclamers ni des handicaps.
Le jeu se fait exclusivement placé, par conséquent on s'abstient dans les courses de trois partants et moins. On joue 10 euros placés par cheval. Après une perte, on augmente de 10 euros. On stationne sur la mise tant qu'on a pas récupéré et on retourne.
C'est un système de mises qui exploite un principe très solide et constamment vérifié, aussi bien aux courses qu'à beaucoup d'autres jeux. Les écarts les plus fort sont composés par des séries pendant lesquelles les fréquences d'arrivée sont d'autant plus grandes que les écarts ont été plus grands.
Il y a aux courses, des proportions qui tiennent depuis de longues années et dont le pourcentage varie à peine de 1 à 2 pour cent d'une année à l'autre. C'est ainsi que les premiers favoris de la presse gagnent 33 fois sur cent et les seconds 22 fois sur cent, que les mêmes premiers et seconds favoris sont placés respectivement 60 et 44 fois sur cent. Nous le répétons, ce sont là des proportions qui ne varient que d'une façon infime d'une année à l'autre.
Prenons donc, par exemple, les premiers favoris qui, gagnant en moyenne 33 fois sur cent, c'est à dire 1 fois sur 3. Pendant un mois, sur 180 favoris, on n'en a gagné que 40, soit 22% (pourcentage très inférieur à la moyenne). Fatalement, dans un délai plus ou moins rapproché, cette mauvaise période sera compensée par une bonne, au cours de laquelle le pourcentage d'arrivée sera très supérieur à 33 pour cent qui est le pourcentage normal. Il y aura donc des séries compensatrices des écarts. S'il en était autrement, le pourcentage annuel serait inférieur au chiffre qu'il atteint d'une façon constante.
La progression par paliers successifs qui permet de profiter des séries est basée sur ce principe. Elle présente l'avantage d'être lente et de ne pas s'arrêter au premier gagnant comme le font la plupart des progressions.
Appliquer une progression par paliers successifs, consiste à jouer par exemple:
10 mises à 10 francs
10 mises à 20 francs
10 mises à 40 francs
10 mises à 80 francs
A notre avis, la progression par paliers présente un gros intêret lorsqu'elle s'applique à des chevaux à grosse cote qui, pour cela même sont suceptibles de subir de gros écarts.
En effet, supposons un jeu sur des chevaux à cote moyenne de 10 contre 1. C'est là un jeu où les gros écarts sont fatals et où la progression arithmétique, si lente soit-elle, nécessite un découvert considérable.
Si on atteint un écart de 35 (écart tout à fait réalisable en simple gagnant quand on joue des chevaux à 10 contre 1), une progression lente telle que la suivante: 10, 20, 30, 40, 50, etc. atteindrait au trente sixième coup, un découvert de 6700 francs, et si le cheval touché rapportait la cote suposée de 110 francs pour 10 francs, on toucherait 3600 francs, soit une perte de 3110 francs.
Avec la progression par paliers (10 coups à 10, 10 à 20, 10 à 40, 10 à 80), on n'aurait déboursé que 1180 francs et on toucherait 880 francs, soit une perte de 300 francs seulement.
A noter que l'on n'arrêterait pas le jeu après le trente-sixième coup et que l'on jouerait même quatre coups à 80 francs. Si, sur ces quatre coups, on a la bonne fortune de toucher un autre gagnant, la perte se mue en bénéfice important.
La question qui se pose lorsque l'on veut appliquer une progression par paliers, est de savoir combien chaque palier doit comprendre de chevaux. En règle générale, lorsque l'on joue des chevaux à une cote moyenne, le nombre de chevaux que contiendra chaque palier, doit être égal à l'inverse de la probabilité.
Expliquons nous:
1. Si l'on joue en palier les premiers favoris de la presse, dont le pourcentage d'arrivée est de 1/3, le palier comprendra trois chevaux.
2. Si l'on joue les seconds favoris de la presse, dont le pourcentage d'arrivée est un peu supérieur à 1/5, la palier comprendra cinq chevaux.
Dans le premier cas, on jouera trois chevaux à 10, trois à 20, etc. et dans le second cas, cinq chevaux à 10, cinq chevaux à 20, etc.
La progression par paliers, appliquée judicieusement sur des chevaux soigneusement sélectionnés, de préférence à cote moyenne (ni gros favoris, ni gros outsiders), peut et doit donner des résultats.
Le But de cette méthode est de profiter d’une super base ayant une réussite de 75% pour détecter les arrivées logiques et tenter de toucher à la fois le couplé gagnant, le tiercé et le quarté. Suivant votre tempérament, vous pourrez jouer un, deux ou les trois types de paris cités ci-avant.
Au départ, il s’agit de sélectionner 4 chevaux que l’on nommera A B C D et que l’on jouera au couplé gagnant et qui, dans cet ordre, serviront de bases pour jouer au tiercé et en quarté.
Pour choisir nos 4 bases parmi tous les partants d’une course Tiercé Quarté Quinté , nous devrons nous référer à deux rubriques publiées dans Paris-Turf et situées sur la troisième page des "pages saumon":
Nos Confrères ont choisi
Liste Type
Notre méthode ne sera applicable que lorsque la course à événement considérée comportera un favori sortant du lot.
Pour contrôler si la course répond à ce critère, nous nous référerons à la colonne 1 au bas du tableau "Nos confrères ont choisi". Pour savoir si la course est "jouable", il suffit de voir combien de points obtient le premier cheval de cette colonne 1.
Pour que la méthode soit applicable, il faut qu’un cheval et un seul obtienne au moins 30 points. Si aucun cheval obtient 30 points, on ne joue pas.
Pour sélectionner ces 2 chevaux, nous nous référerons à la colonne 2 au bas du tableau "Nos confrères ont choisi".
Nous retiendrons les deux chevaux ayant le plus de points de la colonne 2.
Si la super base (cheval A) devait se trouver parmi les 2 premiers de la colonne 2, on considérerait alors le troisième cheval de cette colonne.
Pour départager les ex æquo afin de savoir quelle sera le cheval B et C, nous observerons combien de citations affiche chacun des chevaux retenus dans la liste type. Le plus cité sera le chevaux B et le suivant le cheval C.
Il faut bien reconnaître que, jusqu’à présent, notre sélection se compose exclusivement de favoris. Pour rendre notre jeu plus spéculatif, notre cheval D sera donc notre outsider.
Parmi les 6 premiers chevaux de la liste type, notre cheval D sera celui qui obtient le moins de points au bas de la colonne 2. En cas d’égalité, on retiendra le cheval le mieux classé dans la liste type.
Nous savons désormais comment sélectionner nos quatre chevaux A B C et D. Voyons à présent comment nous allons les mettre en pratique.
Nous allons considérer chaque mode de pari séparément.
En couplé gagnant, nous allons jouer les quatre chevaux A B C D au coefficient 2, c’est à dire selon une mise unitaire de 10 F x 2 = 20 F). Ce qui nous fera 120F d’enjeu.
En tiercé nous jouerons:
Une combinaison complète des quatre chevaux A B C D. ce qui revient à 144FF (24F x 6) à la mise unitaire de 6 F.
Deux "HS": A-B-x et A-C-x. Pour une course de 18 partants, une "HS" reveint à 96 F. Ce qui fait au total 192 F (96 F x 2).
En quarté nous jouerons les trois "HS": A-B-C-x, A-B-D-x et A-C-D-x.
A la mise unitaire de 8 F, chacune des ces "HS" revient à 120 F avec 18 partants. Notre jeu en Quarté revient donc à 360 F au total.
http://blogavecblogger.blogspot.com/2019/11/flux-rss.html
https://www.turf-fr.com/methodes/super_base
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